Résumé :
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La Bibliothèque nationale de France et l’Institut national de l’audiovisuel ont mené d’importantes collectes d’urgence du Web et de Twitter lors des attentats de janvier puis de novembre 2015 (poursuivies en 2016, notamment au mome[...]
La Bibliothèque nationale de France et l’Institut national de l’audiovisuel ont mené d’importantes collectes d’urgence du Web et de Twitter lors des attentats de janvier puis de novembre 2015 (poursuivies en 2016, notamment au moment des événements de Nice). La conservation du patrimoine nativement numérique des attentats a été aussi au cœur de la réflexion d’autres acteurs, individuels ou institutionnels, européens ou nord-américains, à la même période et parfois en amont. Ces extraits d’entretiens oraux menés avec plusieurs d’entre eux livrent leurs regards sur les motivations, réussites, contraintes, mais aussi limites de ces archivages, confrontés au flux, au temps réel, à des données pléthoriques. Ils éclairent des enjeux de mémoire, de conservation, mais aussi d’accessibilité et d’exploitation de ces données par les chercheurs. - Site de la revue.
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