Titre : | Mon air, ma rue : étude sur la pollution de l’air dans les villes wallonnes |
Auteurs : | Greenpeace Belgique, Auteur Elodie Mertz, Auteur |
Editeur : | Bruxelles : Greenpeace Belgique |
Année de publication : | 2018 |
Présentation physique : | 5 p.ill., tableaux, graphiques |
Mots clés : |
Centres-villes
Circulation urbaine Mobilité quotidienne Politique urbaine Pollution -- Lutte contre |
Résumé : |
Du 17 août au 14 septembre, une septantaine de volontaires wallons ont mesuré dans leur rue la qualité de l’air, et plus précisément les concentrations de dioxyde d’azote (NO₂). Les participants habitent une des villes suivantes : Tournai, Mons,[...]
Du 17 août au 14 septembre, une septantaine de volontaires wallons ont mesuré dans leur rue la qualité de l’air, et plus précisément les concentrations de dioxyde d’azote (NO₂). Les participants habitent une des villes suivantes : Tournai, Mons, La Louvière, Charleroi, Namur ou Liège, et résident soit dans le centre-ville, dans une rue plus ou moins fréquentée, soit le long d’une route où il y a beaucoup de trafic automobile. Après un mois de mesure, le bureau d’ingénieur Buro Blauw a analysé les résultats et les a ramenés à l’échelle d’une moyenne annuelle.
La limite de l’Union européenne pour le NO₂ est la même que la valeur recommandée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), soit 40 μg/m³ de concentration annuelle moyenne. Cependant, pour interpréter les résultats, Greenpeace a pris en compte les recommandations sanitaires les plus récentes qui indiquent que les effets négatifs de la pollution sur la santé sont réels dès le seuil de 20 μg/m³. À de nombreux endroits dans les villes wallonnes, la pollution de l’air est au-dessus des recommandations sanitaires les plus récentes, et à certains endroits, elle dépasse les normes européennes, bien que les mesures officielles ne le mentionnent pas. De notre échantillon de participants : - 30,9% respirent un air de bonne qualité ou de qualité acceptable ; - 60.3% respirent un air médiocre, de mauvaise qualité ou légalement inacceptable ; - 8.8% respirent un air de très mauvaise qualité dont les seuils dépassent la limite légalement autorisée. [Présentation par le site internet de l'éditeur] Voir aussi Le Soir, 2/10/2018, page 11 : "La pollution hante aussi les villes wallonnes". |
Précision sur le document : | Rapport/Etude |
Voir aussi : | |
En ligne : | http://www.greenpeace.org/belgium/fr/vous-informer/climat-energie/blog/les-citadins-wallons-respirent-un-air-malsain/blog/61922/ |
Documents numériques (1)
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